Les Misérables en la prensa francesa Le Courrier du Loiret

Les Misérables en la prensa francesa Le Courrier du Loiret Une compagnie espagnole en résidence LE COURRIER DU LOIRET – Le Jeudi 20 décembre 2018 – C.S. Le Bricabrac teatro répète à Malesherbes Les misérables, une pièce qui sera jouée en début d’année prochaine dans les établissements scolaires espagnols. Par quel heureux hasard une compagnie de théâtre espagnole a-t-elle momentanément posé ses décors dans les locaux de l’espace jeunes malesherbois ? Du 3 au 20 décembre, le bricAbrac Teatro est accueilli en résidence dans une pièce de l’Espace Jeune. Outre le fait que les comédiens y répètent Les Misérables, une pièce adaptée de l’oeuvre de Victor Hugo, la véritable raison de leur présence à Malesherbes est que l’un des deux principaux membres de la compagnie, Matthieu Berthelot, est d’origine malesherboise. C’est cet enfant du pays qui a créé en 2005, le bricAbrac Teatro à Séville avec Elena Bolaños, auteur, critique de théâtre et comédienne tandis qui lui gère toute la partie technique des spectacles. Difficile dons de trouver une meilleure raison pour continuer de développer par-delà les frontières cette collaboration artistique. Outre un travail de création qui met Elena seule en scène dans un registre d’humour non dénué d’un travail de réflexion sur le monde contemporain, la compagnie travaille aussi beaucoup de textes en français pour les représenter dans les établissements scolaires espagnols aux jeunes de 12 à 18 ans apprenant langue de Molière. Trois mois de tournée en Espagne. Après avoir présenté entre autre ces dernières années Notre-Dame de Paris ou Cyrano de Bergerac, c’est donc Les Misérables que la troupe va bientôt jouer devant les étudiants. Frédéric Valentin, Florian Miazga et Romain Tomas, trois comédiens français, vont se joindre à cette tournée de trois mois, de janvier à mars, dans les différentes régions d’Espagne. Pouvoir bénéficier d’une résidence à Malesherbes était pratique pour les comédiens qui ont bien sûr tous des attaches à Paris. Ce sera aussi l’occasion pour les jeunes Malesherbois fréquentant le lieu d’assister à ce travail de répétition. À l’inverse, verra-t’on un jour le bricAbrac Teatro dans les collèges et lycées français jouer des pièces en espagnol ? «C’est une idée! On y pense…» répond en souriant Matthieu Berthelot.

Les Misérables en la prensa francesa Le Courrier du Loiret
Une compagnie espagnole en résidence

LE COURRIER DU LOIRET – Le Jeudi 20 décembre 2018 – C.S.

Le Bricabrac teatro répète à Malesherbes Les misérables, une pièce qui sera jouée en début d’année prochaine dans les établissements scolaires espagnols.

Par quel heureux hasard une compagnie de théâtre espagnole a-t-elle momentanément posé ses décors dans les locaux de l’espace jeunes malesherbois ?

Du 3 au 20 décembre, le bricAbrac Teatro est accueilli en résidence dans une pièce de l’Espace Jeune. Outre le fait que les comédiens y répètent Les Misérables, une pièce adaptée de l’oeuvre de Victor Hugo, la véritable raison de leur présence à Malesherbes est que l’un des deux principaux membres de la compagnie, Matthieu Berthelot, est d’origine malesherboise. C’est cet enfant du pays qui a créé en 2005, le bricAbrac Teatro à Séville avec Elena Bolaños, auteur, critique de théâtre et comédienne tandis qui lui gère toute la partie technique des spectacles. Difficile dons de trouver une meilleure raison pour continuer de développer par-delà les frontières cette collaboration artistique. Outre un travail de création qui met Elena seule en scène dans un registre d’humour non dénué d’un travail de réflexion sur le monde contemporain, la compagnie travaille aussi beaucoup de textes en français pour les représenter dans les établissements scolaires espagnols aux jeunes de 12 à 18 ans apprenant langue de Molière.

Trois mois de tournée en Espagne.

Après avoir présenté entre autre ces dernières années Notre-Dame de Paris ou Cyrano de Bergerac, c’est donc Les Misérables que la troupe va bientôt jouer devant les étudiants. Frédéric Valentin, Florian Miazga et Romain Tomas, trois comédiens français, vont se joindre à cette tournée de trois mois, de janvier à mars, dans les différentes régions d’Espagne. Pouvoir bénéficier d’une résidence à Malesherbes était pratique pour les comédiens qui ont bien sûr tous des attaches à Paris. Ce sera aussi l’occasion pour les jeunes Malesherbois fréquentant le lieu d’assister à ce travail de répétition.

À l’inverse, verra-t’on un jour le bricAbrac Teatro dans les collèges et lycées français jouer des pièces en espagnol ? «C’est une idée! On y pense…» répond en souriant Matthieu Berthelot.

Les Misérables en la prensa francesa La République du Centre

Les Misérables en la prensa francesa La République du Centre La compagnie théâtrale de passage en Beauce RÉPUBLIQUE DU CENTRE – LE MALESHERBOIS – LOISIRS – ART – LITTÉRATURE – Le lundi 10 décembre 2018 BricAbrac Teatro en résidence La compagnie franco-espagnoles prépare, sur les terres d’origine de son régisseur, un spectacle qu’elle jouera en Espagne début 2019. La compagnie BricAbrac Teatro est en résidence à l’espace jeunes de Malesherbes, depuis le début du mois et jusqu’au 20 décembre. Cette compagnie professionnelle de théâtre, née en 2005 à Séville, en Espagne, est le fruit de la rencontre entre l’Espagnole Elena Bolanos et le Français Matthieu Berthelot, dont une partie de la famille habite dans le Malesherbois. Elena est la comédienne, l’auteur et le metteur en scène des spectacles, Matthieu gère la logistique, le son, la lumière, en bref toute la régie. Ils se sont attaqués aux grands classiques La compagnie est connue en Espagne, ayant monté une vingtaine de spectacles dans de grandes villes comme Madrid, Tolède, Valence, Séville, Grenade… Elle a plusieurs partitions à ses cordes. Les monologues théâtraux écrits et joués par Elena, comme C’est la vie, ont connu de beaux succès dans la péninsule ibérique. Avec beaucoup de verve, d’humour et de gestuelle, l’artiste embarque son public dans un quotidien qui, finalement n’est pas si drôle que cela. Elena et Matthieu se sont ensuite adressés à un autre public : celui des jeunes de 12 à 18 ans et plus, fréquentant les établissements scolaires espagnols et étudiant le français. Ils se sont attaqués aux grands classiques comme L’avare et Le malade imaginaire de Molière, Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand et Notre-Dame-de-Paris de Victor Hugo. Ils se sont déplacés dans 43 grandes villes espagnoles, à la rencontre des adolescents, pour leur présenter une pièce de théâtre entièrement en français. « C’est une très bonne manière d’aborder une langue étrangère. Nos représentations d’une heure sont suivies d’échanges en français avec les étudiants. Nous pouvons ainsi rompre la barrière de la timidité », détaille Elena. Des ateliers de théâtre A cette heure, ce sont les répétitions d’une adaptation des Misérables, de Victor Hugo, qui se déroulent à l’espace jeunes de Malesherbes. Leur premier travail en France. Quatre comédiens, les Français Frédéric Valentin, Florian Miazga, Romain Tomas, et bien entendu Elena Bolanos, jouent les principaux rôles de cette grande œuvre, « si actuelle de nos jours ». La tournée en Espagne est prévue de janvier à mars 2019. Par ailleurs, pour remercier l’intercommunalité qui l’a accueillie en résidence, la compagnie se propose de diriger des ateliers de théâtre, cette fois-ci en espagnol, avec les adolescents fréquentant la structure.

Les Misérables en la prensa francesa La République du Centre
La compagnie théâtrale de passage en Beauce

RÉPUBLIQUE DU CENTRE – LE MALESHERBOIS – LOISIRS – ART – LITTÉRATURE – Le lundi 10 décembre 2018

BricAbrac Teatro en résidence

La compagnie franco-espagnoles prépare, sur les terres d’origine de son régisseur, un spectacle qu’elle jouera en Espagne début 2019.

La compagnie BricAbrac Teatro est en résidence à l’espace jeunes de Malesherbes, depuis le début du mois et jusqu’au 20 décembre.

Cette compagnie professionnelle de théâtre, née en 2005 à Séville, en Espagne, est le fruit de la rencontre entre l’Espagnole Elena Bolanos et le Français Matthieu Berthelot, dont une partie de la famille habite dans le Malesherbois.

Elena est la comédienne, l’auteur et le metteur en scène des spectacles, Matthieu gère la logistique, le son, la lumière, en bref toute la régie.

Ils se sont attaqués aux grands classiques

La compagnie est connue en Espagne, ayant monté une vingtaine de spectacles dans de grandes villes comme Madrid, Tolède, Valence, Séville, Grenade… Elle a plusieurs partitions à ses cordes. Les monologues théâtraux écrits et joués par Elena, comme C’est la vie, ont connu de beaux succès dans la péninsule ibérique.

Avec beaucoup de verve, d’humour et de gestuelle, l’artiste embarque son public dans un quotidien qui, finalement n’est pas si drôle que cela.

Elena et Matthieu se sont ensuite adressés à un autre public : celui des jeunes de 12 à 18 ans et plus, fréquentant les établissements scolaires espagnols et étudiant le français. Ils se sont attaqués aux grands classiques comme L’avare et Le malade imaginaire de Molière, Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand et Notre-Dame-de-Paris de Victor Hugo.

Ils se sont déplacés dans 43 grandes villes espagnoles, à la rencontre des adolescents, pour leur présenter une pièce de théâtre entièrement en français. « C’est une très bonne manière d’aborder une langue étrangère. Nos représentations d’une heure sont suivies d’échanges en français avec les étudiants. Nous pouvons ainsi rompre la barrière de la timidité », détaille Elena.

Des ateliers de théâtre

A cette heure, ce sont les répétitions d’une adaptation des Misérables, de Victor Hugo, qui se déroulent à l’espace jeunes de Malesherbes. Leur premier travail en France.

Quatre comédiens, les Français Frédéric Valentin, Florian Miazga, Romain Tomas, et bien entendu Elena Bolanos, jouent les principaux rôles de cette grande œuvre, « si actuelle de nos jours ». La tournée en Espagne est prévue de janvier à mars 2019.

Par ailleurs, pour remercier l’intercommunalité qui l’a accueillie en résidence, la compagnie se propose de diriger des ateliers de théâtre, cette fois-ci en espagnol, avec les adolescents fréquentant la structure.

Lectura en El Desguace Radio

Lectura de la la obra Y AHORA QUÉ por Elena Bolaños en el programa El Desguace de la radio NEO FM Sevilla, con Marta G. Navarro. www.facebook.com/ElDesguaceRadio/

Lectura de la la obra Y AHORA QUÉ por Elena Bolaños en el programa El Desguace de la radio NEO FM Sevilla, con Marta G. Navarro. www.facebook.com/ElDesguaceRadio/

Entrevista en El Desguace NEO FM Sevilla

Entrevista de Elena Bolaños en el programa El Desguace de la radio NEO FM Sevilla, con Marta G. Navarro, sobre la obra Y AHORA QUÉ de la compañía bricAbrac Teatro (www.bricabracteatro.com) en la Sala LA FUNDICIÓN de Sevilla, del Jueves 25 al Domingo 28 de Mayo. www.facebook.com/ElDesguaceRadio/

Entrevista de Elena Bolaños en el programa El Desguace de la radio NEO FM Sevilla, con Marta G. Navarro, sobre la obra Y AHORA QUÉ de la compañía bricAbrac Teatro (www.bricabracteatro.com) en la Sala LA FUNDICIÓN de Sevilla, del Jueves 25 al Domingo 28 de Mayo. www.facebook.com/ElDesguaceRadio/

INSOMNIO, Ne me Quitte pas el Sueño en la revista LATEATRAL

Crítica de INSOMNIO, Ne me Quitte pas el Sueño en la revista LATEATRAL – Revista LATEATRAL n·28 enero/marzo 2011 INSOMNIO, Ne me Quitte pas el Sueño de bricAbrac Teatro abría temporada en la Sala La Fundición con un espectáculo para no dormir, de la risa. A la pregunta de cuánto me quieres, Elena Bolaños responde en metros. Más que Elena, lo hace Irene, el personaje que interpreta en la última comedia de la sevillana bricAbrac Teatro. La compañía ,recupera a la niña que a los 9 años tuvo su primera crisis de identidad en ‘C’est la Vie’, el primer espectáculo de la compañía, aunque ahora ya es mayorcita. Recién cumplidos los 30 años, llegada de la boda de una amiga y en un piso que le recuerda al novio que la ha abandonado y a la madre, que eso ya lo sabía. Aparentemente el argumento no brilla por su originalidad, pero acaba brillando, y mucho. Resulta imposible despegar los ojos de Irene, que desde el primer momento convierte al público en su cómplice. Una cercanía invisible que logra con una dosis de humor continua y un ritmo que no decae, que sorprende hasta el final. Parece que está contagiando el “Insomnio”, pero a carcajadas. La fórmula bricAbrac se repite porque funciona. El absurdo, el clown y una interpretación cautivadora se unen a que la obra pende entre dos mundos, el ‘soy’ y el ‘si yo fuera’. Sin más, se abre una puerta a la imaginación, donde una cama puede ser un tren, y un cajón, una maleta. Donde Irene ya no es Irene, sino el personaje del cuento que siempre ha querido escribir. Incluso el color de los muebles y del vestuario, todo de azul fantasía, advierte ya que en ‘Insomnio’ cualquier cosa puede suceder. Una obra que cuida cada detalle, y, sin lugar a dudas, un gran paso para bricAbrac Teatro que, a pesar de sus cinco años de existencia, ya demuestra que se puede hacer un hueco en el panorama independiente del teatro andaluz. Ahora, después de desvelarnos, quién quiere dormir.

Crítica de INSOMNIO, Ne me Quitte pas el Sueño en la revista LATEATRAL – Revista LATEATRAL n·28 enero/marzo 2011
INSOMNIO, Ne me Quitte pas el Sueño de bricAbrac Teatro abría temporada en la Sala La Fundición con un espectáculo para no dormir, de la risa.

A la pregunta de cuánto me quieres, Elena Bolaños responde en metros. Más que Elena, lo hace Irene, el personaje que interpreta en la última comedia de la sevillana bricAbrac Teatro. La compañía ,recupera a la niña que a los 9 años tuvo su primera crisis de identidad en ‘C’est la Vie’, el primer espectáculo de la compañía, aunque ahora ya es mayorcita. Recién cumplidos los 30 años, llegada de la boda de una amiga y en un piso que le recuerda al novio que la ha abandonado y a la madre, que eso ya lo sabía. Aparentemente el argumento no brilla por su originalidad, pero acaba brillando, y mucho.

Resulta imposible despegar los ojos de Irene, que desde el primer momento convierte al público en su cómplice. Una cercanía invisible que logra con una dosis de humor continua y un ritmo que no decae, que sorprende hasta el final. Parece que está contagiando el “Insomnio”, pero a carcajadas.

La fórmula bricAbrac se repite porque funciona. El absurdo, el clown y una interpretación cautivadora se unen a que la obra pende entre dos mundos, el ‘soy’ y el ‘si yo fuera’. Sin más, se abre una puerta a la imaginación, donde una cama puede ser un tren, y un cajón, una maleta. Donde Irene ya no es Irene, sino el personaje del cuento que siempre ha querido escribir.

Incluso el color de los muebles y del vestuario, todo de azul fantasía, advierte ya que en ‘Insomnio’ cualquier cosa puede suceder. Una obra que cuida cada detalle, y, sin lugar a dudas, un gran paso para bricAbrac Teatro que, a pesar de sus cinco años de existencia, ya demuestra que se puede hacer un hueco en el panorama independiente del teatro andaluz. Ahora, después de desvelarnos, quién quiere dormir.